J’aime l’odeur du Granola sortant tout droit du four !
J’ai réalisé une recette maison bien plus healthy, saine que celle que vous pouvez trouver en magasin ! Avec des ingrédients soigneusement choisis et surtout très facile à faire.
Avec une pointe de poudre de cannelle en plus et des morceaux de chocolat noir, c’est l’éveil des papilles gustatives assuré.
On entend énormément parler du Féminin Sacré. Et les hommes dans tout ça ? N’oublions pas leurs valeurs.
« Je crois au Masculin Sacré.
Je crois aux hommes sensibles et aimables.
Je crois aux hommes qui se guérissent et qui aident les autres à guérir.
Je crois aux hommes mystiques qui se connaissent eux-mêmes.
Je crois à ces hommes endormis et malades qui veulent voir la lumière et qui parviennent parfois à la voir.
Je crois aux hommes dont l’ambition la plus haute est la simple félicité.
Je crois aux hommes qui cherchent avec tempérance la paix à l’intérieur.
Je crois aux hommes qui se rebellent face au système, parce qu’ils savent qu’il n’a jamais été sain.
Je crois aux hommes poètes, mages, écrivains, sages, enseignants, musiciens et artistes.
Je crois aux hommes conscients qui savent qu’ils ont perdu autant avec le patriarcat, que les femmes.
Je crois aux hommes qui aiment danser et chanter et qui font de la vie une fête.
Je crois aux hommes qui aiment leur enfant intérieur blessé, qui l’écoutent et l’enlacent.
Je crois aux hommes qui refusent d’être esclaves de leur propre blessure et qui malgré la douleur la nettoient et la guérissent patiemment, avec amour et courage.
Je crois aux hommes qui viennent des étoiles et qui se souviennent de la puissance de leurs ailes, du pouvoir de leurs mains et du pouvoir de leur coeur.
Je crois aux hommes qui connaissent leur intuition et l’utilisent comme une boussole.
Je crois aux hommes libres qui partagent leur liberté parce qu’ils ne connaissent pas d’autre façon de vivre.
Je crois aux hommes protecteurs de l’énergie féminine, qui savent lire le regard de leur bien-aimée et qui ne veulent pas la changer mais simplement l’accompagner amoureusement sur son chemin.
Je crois aux hommes complets qui n’ont pas besoin de quoi que ce soit parce qu’ils savent qu’ils sont tout.
Je crois aux hommes à l’esprit du feu, qui coulent comme l’eau quand ils parcourent la terre féminine et qui caressent comme le vent, quand ils aiment sans hâte.
Je crois aux hommes qui, à travers d’autres yeux, se voient eux-mêmes et c’est pour ça qu’ils aiment et respectent toute créature qui existe sur terre.
Je crois aux hommes parfaitement imparfaits, parce que c’est dans cette imperfection que réside leur beauté.
Je crois aux hommes sensibles qui savent recevoir et donner de l’amour en équilibre, qui écoutent et parlent aussi, ceux qui vivent et qui laissent vivre.
Je crois aux hommes qui vivent la sexualité comme un acte sacré, parce qu’ils savent que c’est un don merveilleux d’où ils peuvent créer l’alchimie la plus pure et inimaginable.
Je crois aux hommes qui ont des sentiments clairs, qui sont accessibles et qui sont présents en eux-mêmes et pour les autres.
Je crois aux hommes qui marchent pieds nus et avec peu de bagages.
Je crois aux hommes tendres et sauvages en même temps, qui n’ont pas encore été domestiqués.
Je crois aux hommes mages qui embellissent tout sur leur passage, dont la vie est un art et qui charment avec leurs dons.
Je crois au Masculin Sacré et à toute la divinité que tu as toujours porté.
Oscar Wilde disait : « S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie » .
En faisant une recherche sur cette citation sur le net, je suis tombée sous le charme d’un magnifique texte publié sur le site français Nos Pensées et intitulé : Je m’aime.
Histoire de mettre en valeur cet écrit, j’ai fait un enregistrement audio avec un fond sonore qui permet de se mettre en état méditatif.
Je viens de terminer de regarder pour la seconde fois le speech de Brené Brown (diffusé sur Netflix) intitulé The Call to courage ( L’appel au courage), une première fois pour entrer totalement dedans (la première fois pour mon cœur) et une seconde fois pour prendre des notes en retirer un enseignement plus précis (la seconde fois pour mon mental).
Brené
Brown travaille dans la recherche depuis plus de 20 ans sur la
honte, la peur, la vulnérabilité et le courage. C’est une femme
introvertie, sensible et émotive.
Dès
le départ elle explique qu’on ne peut être courageux (to be
brave) si on est pas vulnérable. Le parallèle entre la
vulnérabilité et le courage forment la structure de son speech.
Elle fait référence à sa conférence Ted Ex de 2010 (The Power of
Vulnerability) qui a été vue plus de 40 millions de fois sur
le site Ted Ex et plus de 10 millions de fois sur leur page Youtube
qui a fait l’objet de nombreuses critiques négatives (sur son
physique, sur sa légitimité …)
Se
retrouvant dans un état de honte profond, elle est tombée sur
l’extrait d’un discours de Théodore Roosevelt ( traduit en FR
juste après) :
“It
is not the critic who counts; not the man who points out how the
strong man stumbles, or where the doer of deeds could have done them
better. The
credit belongs to the man who is actually in the arena, whose face is
marred by dust and sweat and blood, who strives valiantly; who
errs and comes short again and again; because there is not effort
without error and shortcomings; but who does actually strive to do
the deed; who knows the great enthusiasm, the great devotion, who
spends himself in a worthy cause, who at the best knows in the end
the triumph of high achievement and who at the worst, if he fails, at
least he fails while daring greatly. So that his place shall never be
with those cold and timid souls who know neither victory nor defeat.”
« Ce
n’est pas la critique qui compte ; ce n’est pas l’homme qui montre du
doigt comment l’homme fort trébuche, ou comment
l’homme d’action aurait
pu mieux
faire. Le
mérite revient à l’homme qui est réellement dans l’arène, dont le
visage est entaché de poussière, de sueur et de sang, qui lutte
vaillamment, qui comment
des erreurs
et échoue
encore
et encore, parce qu’il n’y a pas d’effort sans erreur ni défaut,
mais
à
celui qui
s’obstine
;
qui connaît le grand enthousiasme, le
grand dévouement,
qui s’investit
dans une belle
cause, qui dans
le meilleur des cas
finira
par connaître le
succès d’une
grande réalisation et
qui au pire, si il échoue, au moins échoue en osant
grandeur.
Si
bien
que sa place ne soit jamais parmi
ces âmes froides et timides qui ne connaissent ni victoire ni
défaite. »
De
ce discours, Brené Brown a tiré un grand enseignement : si
nous choisissons d’entrer dans l’arène, d’être courageux, de
nous exposer, de tenter notre chance, nous allons échouer.
C’est
un choix.
Choisir
le courage plutôt que le confort, plutôt que la facilité.
Prenons
uniquement les critiques et le feed-back de ceux qui ont également
osé entrer dans l’arène, de ceux qui sont courageux.
Ne
laissons pas la négativité près de notre cœur, laissons-là sur
le sol.